Mardi 4 juin 2 04 /06 /Juin 07:39

Alors les mecs, pensez a mater dans les voitures qui vous doublent!

 

Par Master - Publié dans : Vidéos
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Samedi 1 juin 6 01 /06 /Juin 14:08

 

 

La semaine derniére, je décidais de rentrer de Paris en stop!

 

RDV place de la Bastille avec une charmante femme qui partait vers le sud... Il était convenu qu'elle me laisse sur l'aire de repos aprés Saint Arnoult.

 

Ce qu'elle fit.

 

J'avais préparé mon petit carton, avec marqué direction Bordeaux.

 

Je me place donc a coté des camions dans l'espoir qu'un chauffeur aurait la bonne idée de m'embarquer.

 

Je portais un survêt sans rien dessous...

 

Aprés 20 minutes, bingo. un camion qui allait repartir me fit appel de phare. Je m'approche pour discuter avec le chauffeur, qui me dit qu'il descendait vers l'espagne et qu'il pouvait me deposer ou je voulais.

 

Le mec était pas mal, la quarantaine.

 

Satisfait, je fis le tour du camion pour monter coté passager.

 

Une fois assis, il demarre, et en route pour le sud!

 

Au bout d'un moment, j'etendis un ronflement derriere moi... Il y avait un mec qui dormait... son co-équipier.

 

Zut, ce que j'avais derriere la tête venait de tomber à l'eau.

 

Dommage, le conducteur portait lui aussi un suvêt ou je devinais sa queue.

 

Le mec derriere moi se reveille.

 

Je lui dis bonjour, nous entammons une discussion qui vire vite aux questions plus intimes.

 

- t'as une copine?

-non

 

Eux étaient mariés, mais ils passent leur temps sur la route, ils se relaient pour la conduite, et finissent par m'avouer qu'ils branlent pendant leur pose, histoire de satisfaire leurs envies. Le mec me montre une pile de bouquins de cul ( hétéro).

 

il commence à les feuilleter, et me propose de venir avec lui pour mieux voir.

 

il me propose de me branler avec lui. Il sort sa queue déjà raide avec un gros gland gorgé de sang. Il avait les coulles poilues et pendantes.

 

La vision de son chibre m'excitais. Ma queue pointait dans mon survêt.

 

- Vas y sort là, n'ait pas peur!

 

Je sors mas queue, nous commencons à nous branler mais mon regard etait plus sa tige que sur le bouquin de chattes.

 

Son collégue qui nous guettait tout en conduisant lui à son pote:

 

- Je crois que ce mec matte ta queue en fait!

 

Géné je répondis que non, mais je me mis a rougir...

 

- t'aimes ma bite? tu veux la toucher? me sucer peut être?

- t'as une belle queue et de belles couilles

- alors vas y suces moi, ca va me changer de ma femme qui n'aime pas ca!

 

Je m'approche de sa bite elle sentait la pisse, Je la prend en bouche , Je lui leche les couilles, ca a l'air de lui plaire si j'en crois ses râles.

 

Son collégue commencait à être chaud lui aussi, je pouvais voir sa queue deformer son pantalon.

 

- Alors mon cochon , il suce bien?

-Putain oui , trop

-Je veux bien tester moi aussi!

 

Il sort sa queue, longue et fine, rasé. Il me fait signe de venir vers lui.

 

Je commence à le sucer aussi.

 

Il mouille beaucoup, j'avale sans rien dire. Je savoure cette liqueur.

 

J'étais à genoux, je sentis son collégue s'approcher, il me fit mettre à 4 pattes et finit de baisser son survêt. Il ecarta mes fesses pour voir mon trou.

 

- Wouah la saloppe, tu l'as trouvé ou? Si ma femme avait le cul aussi ouvert, je m'éclaterais plus souvent! Dommage qu'on ait pas de capote je lui defoncerai bien la chatte.

 

Il passais sa queue le long de ma raie, il s'arreta au niveau de mon trou.

 

Moi je continuais de sucer le conducteur qui mouillait tout le temps.

 

-Eh merde, j'ai trop envie!

 

Là, le mec derriere moi donne un coup et je le sens rentrer dans mes entrailles.

 

- Oh merde, qu'est ce que c'est bon!!!

- Si ta femme savait, lui lance le conducteur!

- la tienne aussi, si elle savait que tu fais sucer au volant par un pédé.

 

Ils éclatent de rire.

 

Les coups de rein s'accélérent;

 

- Putain c'est bon, j'aime vraiment ta chatte, je vais jouir.

 

Plusieurs râles, je le sens jouir dans mon cul.

 

Il se retire, et remonte mon fût. Je sens son sperme qui commence à couler de mon trou et humidifer mon survêt.

 

La respiration du conducteur s'accélere.. Au moment ou j'entends son premier râle, je sens dans ma gorge un jet chaud jaillir de sa queue.

 

-Avale tout et nettoie ma queue, j'ai pas 36 trucs à me fouttre sur le cul.

 

J'avale ses 5 gros jets de fouttre et nettoie sa queue.

 

J'avais de jouir, je commence à me branler mais les mecs me dises de jouir dans fût pour pas salir leur cabine.

 

Super excité, je largue à mon tour mon fouttre dans mon survêt.

 

Le mec au volant m'interdit de me rassoir sur le fauteuil.

 

- tu restes là, Tu vas pas tout nous salir.

 

Il prend sa C.B.

 

- Je laisse un sac à fouttre aire de Fontaine Colette.

 

 

Là , le mec ralentit, met son clignottant pour sortir sur l'aire de repos.

 

Il s'arrête, il me dit de descendre, que je peux trouver un autre moyen d'aller plus loin...mais que ce ne serait pas compliqué.

 

Je descend donc, mon pantalon maculé de foutre devant et derrière.

 

Les deux mecs repartent aussitôt!

 

Je reprends mon carton pour trouver un autre camion malgré mon état. Un camion arrive quelques minutes plus tard et s'arrete à ma hauteur:

 

- c'est toi le sac a fouttre? montes.

 

 

 

 

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Jeudi 11 avril 4 11 /04 /Avr 12:52

Un aprés midi d'été, je faisais le tour des aires de repos en recherche d'une bonne queue à soulager.

 

Aprés 2 aires sans succés, je décidais de rester planté devant les chiottes de la troisiéme.

 

Quelques minutes plus tard un camion se gare. Un mec descend et se precipite pour se soulager la vessie.

 

Il laisse la porte entrouverte. Je m'approche pour mater, je le vois en train de pisser. Il tourne la tête et me regarde fixement. Il commence à se branler.

 

Il me fait signe de rentrer ce que je fis aussitot, trop en manque. Le mec a la cinquantaine et sent la transpiration.

 

Je sors ma bite et me caresse devant lui.

 

"- tu suces? parce que ma femme n'aime pas ça, et moi j'adore une bonne bouche"

 

"- oui"

 

Je m'approche de sa queue, elle sent fort la pisse. Je commence à le sucer. Sa bite n'était pas très longue mais grosse.

 

Je leche ses couilles poilues, ça a l'air de lui plaire. Il mouille comme un malade.

 

Je reprends sa bite en bouche, trop excité, il me lache un premier jet au fond de la gorge, il se retire et finit de cracher des gros de sperme gras sur ma gueule.

 

Très vite, il remballe le matos et part presque au pas de course.

 

Toujours dans les chiottes, j'entends son camion demarrer et partir.

 

A mon tour je sors la gueule engluée, croisse un mec et monte dans ma voiture, je rentre chez moi sans m'essuyer pour me branler et jouir à mon tour.

 

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Mercredi 10 avril 3 10 /04 /Avr 09:38

 

 

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Mardi 9 avril 2 09 /04 /Avr 16:12

Voici quelques jours, j'avais un peu de route à faire, seul dans ma voiture, je commencais à me caresser à travers mon jean.

 

Mon sexe commencais à être à l'etroit, j'ouvrai donc ma braguette pour laisser sortir mon chibre. Je me caressais tout en conduisant.

 

En doublant une file de camions, l'un d'eux qui n'avait pas les yeux sur la route, me donna un petit coup de klaxon et me fis appel de phares.

 

Malheureusement, je ne pouvais pas me rabattre et il n'y avait pas d'aire de repos avant plusieurs kilometres.

 

Bien excité, je décidais de m'arreter quand même sur l'aire de repos suivante.

 

Plusieurs camionneurs étaient en attente sur le parking face au bloc sanitaire.

 

Le jean bien gonflé, je remarquais le regard insistant d'un mec derriere son volant. Il avait vue sur les pissotieres. J'avais une bonne envie de pisser, et tout en faisant mon affaire je me suis retourné vers lui.

 

Je le vis defaire son pantalon et commencer à se branler. hummm, tres excitant. Un autre camion arriva et se gara à coté de lui, il remballa le matos et partit.

 

Trop affamé pour en rester là je vis que le mec qui venait d'arriver avait lui aussi l'air interessé. Beau mec fin, brun. Je me suis dirigé vers son camion.

 

Il a tout d'abord fait signe qu'il ne vouliat pas puis aprés qu'il ait regardé autour de lui, il me fit signe de monter. Il ouvrit la porte passager.

 

Il portait un bas de survêt et un tshirt blanc.

 

Il ferma les rideaux dès que je suis monté. Son sexe etait déjà bien gonflé et déformait son survêt.

 

Il me demanda de me branler pour lui. Ce que je fis aussitôt. Je ne pouvais pas détacher mon regard de son fut. Il se caressait. Sa bite avait l'air énorme.

 

Il sortit son engin circoncis. Je m'approchais pour le sucer, il refusa. Dommage.

 

Comme moi, il se branler sans quitter ma queue du regard.

 

Il finit par jouir de gros jets puissants qui lui arrosa le visage. Je jouis aussi dans la foulée.

 

Il ramassa son foutre avec son doigt avant de l'avaler.

 

Il me fit descendre en vérifiant qu'il n'y ait personne et partit.

 

 

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